alger

Blida

On se met en quête d'un taxi pour aller au téléphérique qui mène à Chréa, la station de sports d'hivers. On a un peu de mal mais on trouve une station de taxis. En fait de téléphérique, ce sont des télécabines de ski (de fabrication française). On nous annonce qu'on ne peut pas aller jusqu'à Chréa à cause du vent. On monte jusqu'à Beni Ali (50 DA/pers). On passe au-dessus d'une zone de bidonville. Puis c'est la montagne. On voit tout Blida dans la brume. C'est très grand. La montagneest couverte de pins et de genets jaunes d'or jusqu'à Beni Ali. Beni Ali c'est nul. Il n'y a rien ni personne.

Finalement on peut aller jusqu'à Chréa. Petit à petit apparaissent les cèdres, il y a toujours les genets. Et après il n'y a plus que les cèdres. Chréa est une petite station de ski. On n'y voit que des jeunes. On y mange un sandwich poulet avec une orangeade algérienne. La montagne est dans la brume et il commence à faire un peu frais. On redescend sur Blida.

le ciel est très nuageux. La pluie est annoncée. On prend le train à 10h pour Blida (Alger-Blida : 80 DA/personne). Une fois sortis d'Alger, arbres fruitiers et moutons. Une cigogne. Dans l'agglomération de Blida de grands immeubles. On arrive à 11h.

On part à pied sur un très grand boulevard. Puis une grande place rectangulaire. On continue tout droit. Puis on est attirés par un marché dans les petites rues sur la gauche. Un vrai souk ! On retrouve les ambiances et les odeurs d'Afrique du nord qu'on n'avait pas eues à Alger : les épices, les herbes, la présentation. Sur le boulevard, il faisait très chaud. On a apprécié la fraîcheur du marché. On arrive à une grande mosquée avec 4 minarets très élancés, une grande coupole et des petites.

On part à pied. On finit par avoir un taxi (300 DA) qui nous emmène à la gare des trains. Train chargé. Long arrêt à la première gare (25 min). Au fur et à mesure qu'on se rapproche d'Alger, le train se vide.

Il a plu à Alger. Mais pas beaucoup. On mange au Béarnais. Bon.